
Pas de quoi trop alimenter le blog, ces temps-ci. Ce qui ne signifie pas qu’il ne se passe rien dans ma vie. Mais peu de choses méritent d’être publiques. Il faut garder son jardin.
Comme tout le monde, cette histoire de Covid continue de me pourrir la tête. Mais j’ai la chance d’être obsessionnel et d’avancer encore sur mes recherches sur l’eau. Il est probable d’ailleurs que, d’ici quelques semaines, je fasse appel à des volontaires pour lancer une grande expérience. Pour l’instant, je teste à petite échelle et peaufine le protocole.
On va aller masquer un peu à Paris, histoire de voir un peu ce qui bouge.
Dans ma rue passe un cluster. Je veux dire un mariage sans masque.
Bernard, jai adoré « dans ma rue, passe un cluster »! Il faudrait créer l’expression « clustériser » pour définier ces courageux résitants dont je ferai parti si l’occasion se présente.
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Quelle galère, mon pauvre Galène…
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coucou Bernard si besoin je me porte volontaire si c’est dans mes cordes
bonne mascarade à Paris moi je reste sur mon caillou Bises
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C’est noté, Michou 😉
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3 semaines auprès des oiseaux migrateurs qui avancent sans masque, vers des projets d’hiver africain.
Libres et sans contraintes. Sinon celles de l’impact de l’homme sur leurs habitats et le risque permanent de mourir en chemin. C’est aussi cela le prix de leur liberté.
Protocole bien l’eau…
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