Je n’entrerai pas dans les détails, mais très belle première journée pour Manigances. Sur la photo, Émilie Caen. Ce qui n’empêche pas d’avoir filmé aussi un grand Robinson Stevenin. Ils forment le duo espéré.
On peut visiblement bien travailler dans la bonne humeur. Le tournage apporte déjà son lot de bonnes surprises.
Oh, un Vermeer?
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😉
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C’est exactement l’impression que j’ai eu en regardant cette photo…On dirait un tableau, l’éclairage est sublime… 🙂
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C’est Christophe qui va être content 😉
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Lumière d’un bel âtre sur une brodeuse…
Un beau foyer comme ça me donne envie de faire une bonne garbure !
Pour rattraper les peintres flamands qui ne se nourrissaient que d’huiles.
Tourne beau !
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Tiens, bonne idée, la garbure. Puisque ça chauffe, autant que ça chauffe quelque chose…
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Ou bien la mélasse. Sinon la macronie et la collombie s’effondre à dit le président de la nécropole lyonnaise.
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😉
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La lumière de la connaissance innonde toute la vie sur notre planète.
Lu dans « Futura planète »:
« Dans la vidéo ci-dessous, vous verrez une chenille grignoter une feuille de la plante ; en moins d’une minute, un message, visualisé par une lumière fluorescente, se transmet dans la plante.
Cette vidéo a été obtenue par le laboratoire de Simon Gilroy, professeur de botanique à l’université du Wisconsin-Madison, qui explique dans un communiqué : « Nous savons que si vous blessez une feuille, vous obtenez une charge électrique et vous obtenez une propagation qui se déplace à travers la plante ». »
« Des bourdons ont pu apprendre une technique complexe : tirer sur une corde pour attraper de la nourriture autrement inaccessible (un liquide sucré). Jusque-là, seuls des oiseaux et quelques mammifères étaient censés avoir cette capacité. »
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Il y a aussi une espèce de poisson le Labre commun qui a passé le test du miroir.
https://trustmyscience.com/labre-passe-avec-succes-test-du-miroir/
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Macron a réussi le test, il parait…
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pas folle, la guêpe !
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Concernant la « blessure de la feuille », je n’ose imaginer ce qu’ont pu ressentir les pieds de maïs transgéniques lors des fameux « fauchages volontaires »… Mais c’était de la bonne souffrance !
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