En pleine manigances, j’ai badigeonné les murs du décor de la ferme d’Ermeline, aidé la déco toute la journée. Et en même temps, je vais replonger dans l’écriture du scénario pour quelques retouches et une nouvelle fin. À 1356% dans la préparation du film. C’est pour très vite.
Nous entrons dans la phase où l’on voit que l’on n’a pas tout ce que l’on souhaitait. Dans ce cas, il faut inventer encore et encore pour tirer profit des obstacles.
J’ai quand même comme l’impression que Manigances, ça va être du lourd. Pas question de me décevoir. Donc, a priori, pas question de décevoir le spectateur.
Un seul regret : que le film n’ait pas été à la hauteur de ce qu’il devient aujourd’hui quand on l’a présenté au CNC. Ils ne pouvaient pas deviner que j’allais bosser jusqu’au bout du bout de la préparation. Pourtant, pointe l’idée dérangeante qu’il est devenu bien parce qu’on n’avait pas le CNC. Mais c’est aussi parce que les producteurs m’ont botté les fesses, en vérité.
Allez, on y va ! Rien à foutre de Benalla. Ses manigances à lui sont tristes à mourir.
pffffffffffffff… m’énerve de pas pouvoir y participer !! Quelle idée aussi de manigancer si loin ! 😉
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Peut-être faudrait-il tourner les films chez Madaaaame…
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Il est devenu bien, parcequ’il est bien…..
« Epissetou »…
🙂
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😉
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Les images dans l’en-tête me font penser aux manigances du chanoine Fulbert (tonton furibond) envers le couple mythique Abélard et Héloise. L’un des deux sbires qui taillèrent dans le lard de l’abbé s’appelait peut-être Benalla?
Comme dit un proverbe crétin « Qui aime bien, châtre…euh, châtie bien! »
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😉
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